8 research outputs found

    Detecting Steganography

    Get PDF
    The aim of this project is to assess the non- detectability of slightly modified version of the linguistic steganography approach described in the paper Generating Steganographic Text with LSTMs by classifying whether a tweet was generated by a regular user or by this stegano- graphic method. For that purpose, both a fastText supervised classification and a user study are conducted

    Contacts, conflits et créations linguistiques

    No full text
    « Contacts, conflits et créations linguistiques » a été l’un des thèmes porteurs au sein du Congrès de Nîmes : plus de trente interventions ont été entendues, et vingt-trois auteurs nous ont confié leurs textes. Cet ensemble s’articule autour de deux sujets : d’une part les notions de diglossie et de bilinguisme qui figuraient dans l’appel à communication ont été particulièrement fécondes et d’autre part, la notion de création lexicale qui a apporté des contributions originales. Dans un premier temps, diglossie et bilinguisme ont été confondus avant d’être distingués en sociolinguistique par Ferguson et Fishman. La diglossie rendrait compte plus précisément de la situation de certaines langues ou variétés linguistiques d’une même langue sur un territoire donné, où, par suite d’événements politiques, historiques ou sociaux l’une des langues ou variétés a acquis un statut supérieur à l’autre. Tandis que le bilinguisme s’appliquerait à des situations où deux langues cohabitent sans qu’il y ait de rapport de force. La grande majorité des textes qui suivent nous montrent que quelles que soient les époques, il y a toujours des cohabitations plus ou moins consensuelles ou conflictuelles

    Écrire en situation bilingue – Volume I

    No full text
    « Écrire en situation bilingue », c’est aussi bien pratiquer le « bilinguisme d’écriture » (qui relève du choix du seul individu) que « écrire en situation diglossique » (c’est-à-dire de l’inégalité socialisée des langues), mais c’est de toute manière œuvrer sur l’hétérogène, alors que les institutions du monde (entre autre la/les littérature/s) se prétendent homogènes. La thématique est envisagée sous trois modalités complémentaires : le « choix » d’une langue d’écriture (choisit-on ? en fonction de quoi ?) ; les stratégies d’écriture bilingue (comment intégrer à un texte deux langues ou plus ?) ; la problématique de la réception (édition, lectorat : quelle diffusion, quel retour, en fonction des choix opérés ?). Le propos est ici, par delà la diversité des terrains et des individus, de tenter de repérer les récurrences, voire les invariants dans la production et la réception de fictions narratives et poétiques. Des Mapuche du Chili aux Chicanos des États-Unis, en passant par l’Argentine et ses élites, par le Paraguay bilingue, ou par les Antilles créolisées ; de l’Algérie et de Tanger à Madagascar, en passant par le Mali ou l’Angola ; des territoires de langue occitane et des Catalognes du nord et du sud, jusqu’en Galice, en passant par le Pays Basque, près d’une vingtaine de langues, écrites ou confinées dans l’oralité, véhiculaires ou vernaculaires, dominantes et dominées, mais méritant toutes le label de « langues de culture », se rencontrent, s’unissent et se télescopent dans le texte de création littéraire, optant pour mimer les conditions sociolinguistiques du réel environnant ou bien pour introduire le lecteur dans un univers imaginaire et fantasmé. Les deux volumes édités se complètent : le volume 1 regroupe 38 textes de communications ; le volume 2, 16 interventions au cours de 3 tables rondes, prononcées au cours du colloque qui s’est tenu à l’Université de Perpignan les 20, 21 et 22 mars 2003

    Performance(s)

    No full text
    Dans le monde anglophone, les performance studies sont depuis longtemps un domaine à part entière de l’anthropologie de la musique et des arts scéniques (en anglais : performing arts). C’est grâce aux travaux de Richard Schechner, de Victor Turner ou, pour ce qui est de la musique, de Bruno Nettl que la discipline a acquis ses lettres de noblesse. Or le concept a tardé à s’imposer parmi les chercheurs francophones, probablement en raison de l’ambiguïté que comporte en français le terme même de « performance ». En effet, celui-ci définit l’exploit d’un athlète ou la prouessea d’une machine aussi bien que l’acte de « mettre en jeu », d’interpréter une pièce d’un corpus ou une œuvre d’un répertoire, qu’il s’agisse de poésie, de musique, de danse ou de théâtre. La diversité des approches, des situations et des champs musicaux abordés dans cet ouvrage montre bien que cette mise en jeu – qui implique aussi souvent une mise en scène – prend des formes très variées, déterminées en fonction du contexte culturel et événementiel dans lequel elle se produit, de l’assistance à laquelle elle est destinée et, évidemment, de la finalité de la performance

    De l’âge du Bronze à l’âge du Fer en France et en Europe occidentale (Xe-VIIe siècle av. J.-C.)

    No full text
    Les actes du XXXe colloque de l’Association Française pour l’Étude de l’Âge du Fer (A.F.E.A.F.) - Saint-Romain-en-Gal, 2006 - rassemblent en un seul volume les 16 communications du thème régional et les 28 du thème spécialisé, co-organisé avec l’Association pour la Promotion des Recherches sur l’âge du Bronze (A.P.R.A.B.). La question du territoire est la trame de fond de la partie régionale, suscitée par le dynamisme et les résultats de l’archéologie à Lyon et dans la région (du Mâconnais à la Loire et aux Alpes). Cette question est abordée par l’examen des sources écrites, d’utiles synthèses et la présentation de sites remarquables, en contexte d’habitat ou funéraire. L’enjeu du thème spécialisé était s’éclaircir la difficile question du passage de l’âge du Bronze à l’âge du Fer. Comment cerner les signes du changement, l’expliquer, en saisir le moment ? La plupart des auteurs ont choisi une fourchette chronologique large et se sont placés dans l’optique d’une évolution d’ordre endogène. Le critère du métal n’apparaît pas comme le plus pertinent. La fragmentation des faciès céramiques, la rupture de l’unité culturelle prévalant entre le XIIe et le VIIe siècles, des comportements nouveaux constatés dans les habitats et les pratiques funéraires : la situation est contrastée dans une Europe étudiée ici avec des exemples allant de l’Espagne à l’Italie, de la Grande-Bretagne à la Bohême.So dynamic was archaeology in Lyon and its surrounding region (Macon, the Loire Country and the Alps), that focus was kept on regional topics and that the question of «territory» was kept as the main line of research. The question has been tackled from many angles: written sources, enlightening summaries and synthetized works, presentation of quite remarkable sites, whether settlement sites or burial sites. The whole point was to shed light on the transitional phase between the Bronze Age and the Iron Age. What are the signs of a change, how to explain them, how to pinpoint them? Most scientists have led their research on a fairly large time span, always in the perspective of an endogenous evolution. The metal criterion do not come up as the most relevant factor anymore. Differenciation in pottery groups and disruption in the cultural cohesion prevail between the XIIthand the VIIth centuries. New practices arise in settlement patterns as well as funeral rites: the situation in Europe here under study, is richly contrasted and documented with case studies coming from a zone spreading from Spain to Italy, from Great Britain to Bohemia. The records of the 30th «A.F.E.A.F., Association Française pour l’Étude de l’Âge du Fer» ’symposium - Saint-Romain en Gal, 2006 - gather in one single volume the 16 papers on regional issues, as well as 28 papers on more specific issues, organized in collaboration with the Association pour la Promotion des Recherches sur l’âge du Bronze (A.P.R.A.B.)

    Low incidence of SARS-CoV-2, risk factors of mortality and the course of illness in the French national cohort of dialysis patients

    No full text
    International audienceThe aim of this study was to estimate the incidence of COVID-19 disease in the French national population of dialysis patients, their course of illness and to identify the risk factors associated with mortality. Our study included all patients on dialysis recorded in the French REIN Registry in April 2020. Clinical characteristics at last follow-up and the evolution of COVID-19 illness severity over time were recorded for diagnosed cases (either suspicious clinical symptoms, characteristic signs on the chest scan or a positive reverse transcription polymerase chain reaction) for SARS-CoV-2. A total of 1,621 infected patients were reported on the REIN registry from March 16th, 2020 to May 4th, 2020. Of these, 344 died. The prevalence of COVID-19 patients varied from less than 1% to 10% between regions. The probability of being a case was higher in males, patients with diabetes, those in need of assistance for transfer or treated at a self-care unit. Dialysis at home was associated with a lower probability of being infected as was being a smoker, a former smoker, having an active malignancy, or peripheral vascular disease. Mortality in diagnosed cases (21%) was associated with the same causes as in the general population. Higher age, hypoalbuminemia and the presence of an ischemic heart disease were statistically independently associated with a higher risk of death. Being treated at a selfcare unit was associated with a lower risk. Thus, our study showed a relatively low frequency of COVID-19 among dialysis patients contrary to what might have been assumed

    Low incidence of SARS-CoV-2, risk factors of mortality and the course of illness in the French national cohort of dialysis patients

    No full text
    corecore